La réparation d'un autobus/autocar dépend effectivement de la rentabilité de la réparation par rapport à son amortissement.
Dans le cas du 374 des CR, il est normal qu'il soit parti en réforme. Le 7213 de Rhodalia, lui, n'avait que 2 ou 3 ans lorsque son accident est arrivé, il pouvait donc être réparé et remis en service. C'est comme pour une voiture accidentée qui est déclarée épave par un expert si les réparations coutent plus cher que sa valeur à l'argus.l