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La Passion des Autobus et Autocars en Région Lyonnaise

samedi 20 avril 2024

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Retro TCL

4 Modérateur(s)
K-LS-PAnthony761JM-C
JM-C JM-Cicon_post
La belle rangée de PCMU



à laquelle il faut rajouter cette vue de la 1208 où l'on aperçoit au second plan les PBR ex 34 prévus pour le 26 (il y en avait d'ailleurs déjà quelques-uns pour La Doua) et qui sont reconnaissables par leur capot de ligne inclinée qu'on ne trouvait que sur la 1ère série



La machine à laver avec un PH100 du 34



sebac22 sebac22icon_post
C'est la que stationne actuellement les bus de C7/C22 ça fait bizarre c'est tout neuf :-)
JM-C JM-Cicon_post
La mise en service de bus articulés sur la ligne 7 (09/03/1967) a été bien sûr l'occasion d'un reportage video.

La séquence commence rue de la République puis on voit l'intérieur de la remorque de la "bétaillère".

On saute ensuite à l'autre bout de la ligne, dans l'amorce de la boucle de retournement de Cusset qui s'amorçait par le rue F. de Pressensé, la pharmacie et la Caisse d'Epargne sont toujours là ! On notera une particularité de ces PH180 dont les roues de la remorque étaient directrices.

Suit une nouvelle giration au départ de la gare routière de Perrache, par la contre-allée est du Cours de Verdun. On notera que les articulés étaient inconnus par le code de la route et que la remorque était considérée comme ... une remorque de PL et donc avait une immatriculation propre (ici 907 CS 69 alors que la partie avant de la 1006 avait le 906 CS 69).

La video se termine par le virage de la place Bellecour vers la rue du Plat (la boucle de Perrache empruntait cette rue et la rue Vaubecour et revenait par la rue V. Hugo).

Quelques années après, je pense que la commentatrice a du se mordre les doigts d'avoir prédit que les lyonnais allaient gagner en confort

 

 
JM-C JM-Cicon_post
On aura des vues en couleur dans d'autres reportages. Je retiendrait donc cette vue inédite de l'intérieur de la remorque, avec le poste de perception situé juste avant la porte de descente (et non sur les essieux arrière comme indiqué à tort dans certains ouvrages



Sinon, la boucle de Cusset se faisait par l'av de Pressensé, la rue de Venise, la rue Pierre Voyant et la rue du 4 août.

Sur cette vue aérienne de l'IGN (prise le 29/06/1968), on distingue 3 articulés (dont un qui repart) dans la rue P. Voyant où était le terminus


K-L K-Licon_post
Ces vidéos sont bien plus claires avec tes explications :-) Merci !
Passionné ;-)
JM-C JM-Cicon_post
Le reportage suivant est en couleurs et date du 21/01/1972. Il a été tourné à l'occasion de la mise en service des couloirs pour les autobus et les taxis.

Ces derniers ne nous intéressent pas sauf pour la file d'attente sous les voutes et le SC10U du 8 à l'arrière plan.

Pour les autres matériels on voit au début un PH10/100 du 44 dans le couloir d'accès au pont Kitchener (avec une VP qui ne le respecte pas !), au milieu et à la fin des PH180 au terminus de Perrache et dans le couloir de la rue Victor Hugo. Place de la Comédie (où le 7 avait un couloir avec un arrêt devant l'Hôtel de Ville), on aperçoit aussi un SC10U du 9 (784 DP 69: 1162).

 

Mais le plus intéressant, c'est le personnel et ses uniformes. Les machinistes (et receveurs) ont une chemise bleu nuit et une casquette à parements rouges tandis que les chefs ont une casquette à parements dorés (et pour l'hiver un manteau ou un imperméable ciré).

L'organisation de la hiérarchie n'était pas comme maintenant car la structure était centralisée. Chaque dépôt avait à sa tête un "Inspecteur" qui avait droit à 3 étoiles. L'agent de maitrise interviewé au terminus du 7, qui a une étoile, est un "Contrôleur-chef" sédentaire (il reste ordinairement au dépôt) qui joue un peu le rôle du chef de ligne actuel avec aussi le volet commercial.

Celui qui bafouille un peu sur le quai, sans étoile, est un (simple) contrôleur qui était un homme exclusivement de terrain doté d'un talkie-walkie qui lui permettait de communiquer avec ses collègues et avec le dépôt. Il avait deux fonctions bien distinctes: contrôler les titres de transport et réguler le trafic de la ligne. Pour ce faire, il avait un petit carnet où il notait tous les bus qu'il croisait et ordonnait des demi-tours en cas de retard mais ce n'était pas aussi rapide que maintenant évidemment.

Les contrôleurs étaient affectés à une seule ligne (comme la 8) ou à un groupe de 2 (cas de celui des 29/30) et il y en avait un du matin et un du soir.

Aux terminus importants (Perrache, A. Poncet, Brotteaux, Cx Rousse, Pt Mouton) il y avait un kiosque avec un contrôleur qui ne faisait que de la régulation pour toutes les lignes qui passaint là et distribuait plus ou moins gracieusement des horaires. Par exemple celui de la place A. Poncet régulait toutes les lignes d'Oullins (y compris la 8 qui passait devant lui).
JM-C JM-Cicon_post
Pour préciser, le contrôleur chef étoilé avait aussi des compétences des chefs de groupe actuels en ce qui concerne les promotions, mutations et sanctions.
JM-C JM-Cicon_post
Un dernier reportage sur les conductrices TCL (20/04/1973) où l'on retrouve Jean Arrivetz, mais en couleurs.

Encore appelées "machinistes" comme à la RATP, on apprend qu'il n'y en avait que ...4 (dont 3 sont interviewées) !

C'est l'occasion de voir le dépôt d'Alsace à l'époque avec à l'arrière plan les SC10U du 27 et les VA3B2 du 3.

 
ATAVI ATAVIicon_post
Ahh quel belle époque vive la 7 😍
K-L K-Licon_post
Seulement 4 ? 
Passionné ;-)


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